Curieux parallèle me direz-vous ?
Pas tant que cela.
La magnification de la « nourriture » et du « corps » ont un projet commun, celui de provoquer le sentiment du plaisir immédiat, celui de provoquer l’envie profonde de s’écrier « Oh Oui, j’en veux encore !! » .
Ce désir est suivi d’un sentiment immédiat de culpabilité véhiculée par de ces mêmes images des magazines féminins, diffusant méthodiquement, des règles et des injonctions qui viennent directement ou indirectement contrôler nos assiettes.








